De l’encre à l’écran : l’art du carnet entre intimité et partage
Au bureau comme à la maison, sollicités en permanence, informés en continu, le carnet offre un espace de calme et de recueillement. Il invite à ralentir, à se recentrer sur soi, à prendre le temps de la réflexion et de la contemplation. Pourtant, face à la page blanche, l’hésitation naît, la crainte de « mal faire » apparaît, mais l’essentiel est de s’exprimer sans chercher la perfection. Chaque page tournée offre une nouvelle opportunité, un nouveau départ.
À l’ère du tout numérique où nos vies sont rythmées par les écrans et les notifications, le carnet, objet intime par excellence, se réinvente. Il séduit par sa simplicité, son authenticité et son potentiel créatif. Sur Instagram, TikTok et autres réseaux sociaux, il se met en scène, devient un objet de tendance et de connexion aux autres. Miroir de notre âme, le carnet est-il toujours aussi authentique ? Comment concilier l’expression de soi et le besoin de reconnaissance ?
Pourquoi aimons-nous tant les parfums ?
Il porte en lui l’histoire personnelle, intime, presque pudique en révélant une partie de nous-même. Les fragrances qui nous marquent sont aussi celles qui nous manquent. On s’enivre de l’autre, d’un objet, d’un lieu, et dans l’esquisse du sourire, d’une odeur capturée, le présent est sublimé. Nous faisons, inlassablement, appel à notre mémoire pour éprouver cette nostalgie ou cette mélancolie, véritables refuges pour l’esprit. On se blottit sans peine au creux du parfum, parce qu’il nous fait du bien.
Considéré comme un art depuis la nuit des temps, le parfum a longtemps été réservé aux divinités avant d’être associé à un élixir de beauté. À partir de la Renaissance, son usage se démocratise et imprègne les corps, la médecine, la cuisine, la cosmétique. Quel est le secret de cette potion enivrante qui nous colle à la peau ?
Femmes entrepreneures à La Réunion : révolution digitale et nouveaux horizons
DIG DIG, fondée en 2024 par Séverine, aka Miss Dig Dig, est un exemple inspirant pour les femmes dans le domaine du digital marketing à La Réunion. Après un parcours atypique, passant du droit au marketing digital, Séverine a su transformer sa passion en une activité spécialisée prometteuse, en plein développement sur l’île.
Sur le ton de la bienveillance, avec une approche authentique saupoudrée de fun, son offre de services sur mesure comprend :
À La Réunion, l’entrepreneuriat féminin est en plein essor. Depuis la crise du Covid-19, de nombreuses femmes ont décidé de quitter des postes bien rémunérés pour lancer leur propre activité. Ce mouvement contribue non seulement à leur émancipation, mais aussi à la transformation numérique du territoire. Avec des outils digitaux et des stratégies innovantes, ces femmes entrepreneures (88% depuis 2018) redéfinissent les règles du jeu dans des secteurs variés en numérisant leur activité.Une progression qui reste lente mais plus armée.
Selon les dernières statistiques de l’Insee, les femmes représentent près de 40 % des créateurs d’entreprise sur l’île. Dans un monde de plus en plus digitalisé, cette montée en puissance féminine s’accompagne d’une maîtrise accrue des réseaux sociaux, devenus indispensables pour toucher un public connecté.
Pourquoi faut-il absolument lire, Le monde est injuste, et alors ?
Tania Gombert valorise la force du métissage, comme une forme d’intelligence sociale. Celle de se sentir à sa place “partout et nulle part”. Cette souffrance est aussi un sentiment fort qui ouvre la voie du détachement des à priori et de la composition de ses propres couleurs. “Partout et nulle part ouvre aussi la voie de l’imitation. Malheureusement, parfois, se fondre dans le moule c’est aussi le risque de perdre une part de soi, de son identité.
Trouver son étoile, provoquer sa chance, respecter son identité et lutter contre les injustices relèvent du défi ! Focus sur un parcours passionnant, enragé et habité qui éveille l’envie de se hisser au sommet.
Dans LE MONDE EST INJUSTE, ET ALORS ? Un petit traité sur les valences différentielles, Tania Gombert et la journaliste Clotilde Boudet décortiquent à deux mains les à priori, et les jugements de valeur. En ligne de mire ? “ le racisme, le sexisme, le féminisme et le capital culturel”.